Françaises, Français,En application du principe "Pollueur-Payeur" prévalant notamment ans les zones à faibles émissions mobilité (ZFE ou ZFE-m), existe-t-il un(e) Président(e) français(e) COURAGEUX, JUSTE, RESPONSABLE et NON CORRUPTIBLE pour être capable également de FAIRE VOTER LA TAXATION DE la malbouffe proportionnellement aux méfaits qu'elle cause : • sur la santé des français(es), • sur la dégradation de l'environnement français, • sur l'augmentation croissante des 18 milliards de déficit de la Sécurité Sociale française ? Son déficit s'est déjà dégradé et est estimé à 18,2 Md€ (au lieu des 10,5 Md€ envisagés par la loi de financement de la sécurité sociale pour 2024). Ce dérapage est en grande partie dû au déficit de la branche maladie (15,3 Md€ prévus). (source : vie-publiquePointFr/loi/295695-plfss-2025-loi-du-28-fevrier-2025-de-financement-de-la-securite-sociale)Taxer davantage la malbouffe réorienterait les français(es) vers les aliments sains donc moins taxés et diminuerait ces 18 milliards de déficit CONSTAMMENT CROISSANT de la Sécurité Sociale.À l'inverse, refuser de le faire POURRAIT CONSTITUER UNE PRÉSOMPTION DE volonté de nuire à la santé physique et financière des français(es).Le(la) candidat(e) qui proposera de taxer les aliments comme indiqué dans le tableau ci-dessous aura de grande chance d'être le(la) prochain(e) Président(e) de la République française, prouvant ainsi qu'il(elle) veut EFFICACEMENT protéger la santé physique et financière de nous, français(es) qui fûmes, TRÈS MALADROITEMENT, qualifiés de "gaulois réfractaires aux changements" lors d'un discours prononcé le 29 août 2018 au Danemark.NUTRISCORE des aliments: merci à l'Agence nationale de sécurité sanitaire l'ANSES et au Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP) d'avoir calculé les Nutriscore.Nutriscore A => 0% de TVANutriscore B => 5% de TVANutriscore C => 10% de TVANutriscore D => 15% de TVANutriscore E => 20% de TVACe présent message ou avis est rédigé :1) Sous la protection de la LOI n° 2022-401 du 21 mars 2022 visant à améliorer la protection des lanceurs d'alerte.Article 1L'article 6 de la loi n° 2016-1691 du 9 décembre 2016 relative à la transparence, à la lutte contre la corruption et à la modernisation de la vie économique est ainsi rédigé :« Art. 6.-I.-Un lanceur d'alerte est une personne physique qui signale ou divulgue, sans contrepartie financière directe et de bonne foi, des informations portant sur un crime, un délit, UNE MENACE OU UN PRÉJUDICE POUR L'INTÉRÊT GÉNÉRAL, une violation ou une tentative de dissimulation d'une violation d'un engagement international régulièrement ratifié ou approuvé par la France, d'un acte unilatéral d'une organisation internationale pris sur le fondement d'un tel engagement, du droit de l'Union européenne, de la loi ou du règlement. .." 2) DE BONNE FOI donc ne peut aucunement être qualifié de DIFFAMATOIRE: LA BONNE FOI EST ici PROUVÉE car les 4 critères suivants sont SIMULTANÉMENT réunis:.Prudence et mesure dans l'expression, sans exagération dans le propos.Absence de conflit personnel avec les personnes morales ou physiques citées,.Présence d'un but légitime : informer .Sérieux de l'enquête basée sur des faits solides et NON MENSONGERS.3) En application de l'article 11 de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789 ci-dessous:Art. 11. La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi.